Le dicton latin « Nemo propheta in patria » souligne à quel point il est rare qu’une personne gagne en prestige et en reconnaissance dans son pays natal. Dans ce contexte, le prophète est souvent incompris pour sa nature dissonante, qui se distingue par sa capacité à anticiper les temps et à penser de manière divergente. Cela provoque souvent des malentendus, en particulier dans la communauté d’origine, avec les attentes de conformité aux « normes » du groupe.
Participation de Soly Cissé aux week-ends de l'art "Mythologies contemporaines"
Artiste incontournable sur la scène de l’Art contemporain, Soly CISSÉ est né en 1969 à Dakar, au Sénégal. Enfant, Soly CISSÉ est fasciné par les transparences et la lumière : il s’amuse à dessiner sur les radios de son père, radiologue. Après être sorti major de sa promotion des Beaux-Arts de Dakar, en 1996, il est sélectionné pour les biennales de Sao Paulo et de Dakar en 1998, puis à celle de La Havane en 2000.
La considération des plasticiens à rude épreuve →
Pourtant de renommées internationales, des artistes engagés à mettre leur savoir-faire en faveur de leur pays, exigent que les pouvoirs publics leur accordent plus d’importance.
ARTAFRICA: ART X Lagos returns with a wide-ranging fair programme themed ‘TheDialogue’ →
ART X Lagos, the leading international art fair in West Africa, is pleased to announceits return for its eighth edition, from 2-5 November 2023 with a compelling multi-disciplinary programme themed ‘The Dialogue’.
FRIEZE: Dispatch from Dakar: West Africa’s Art Incubator →
In the shadow of unprecedented political unrest, the capital continues to galvanize artists around and introduce audiences to new talent
Un hors-série de L’OEil 100 % inédit et gratuit sur l’art au Cameroun →
Invité en résidence par l’Ambassade de France et l’Institut français, L’OEil s’est délocalisé en octobre à Yaoundé pour réaliser, avec une rédaction entièrement constituée de journalistes culturels camerounais, un horssérie numérique sur l’art et le patrimoine du Cameroun.
SG Cameroun accueille le Ruinart Festiv’Art 2021 →
La cérémonie de vernissage des oeuvres exposées au sein de Société Générale Cameroun dans le cadre de la 2e édition du Ruinart Festiv’Art, s’est déroulée le vendredi 22 octobre 2021 dans le Hall de l’immeuble Siège de la banque, à Douala.
Art contemporain africain: ENTRETIEN | Voici la meilleure (et la seule) revue d’art contemporain africain en France →
“Aujourd'hui, les lignes bougent. Si on ne s'est pas débarrassé de tous les poncifs autour de la production contemporaine du
continent africain, force est de constater qu'émerge un engouement certain pour cette dernière, les expositions d'art africain
fleurissent et une revue dédiée a (enfin) vu le jour : something we Africans got. Après avoir feuilleté les quelque 200 pages du
premier numéro de ce beau trimestriel bilingue, pointu et richement illustré, j'ai contacté son instigatrice, la pétulante
Franco-Ivoirienne Anna-Alix Koffi.
ART X Lagos is raising the bar for African art and culture →
ART X Lagos is running as a physical fair from November 4-7, while its online version runs from November 4-21. Works of young and veteran artists dot the galleries, each telling a unique story about Africa’s culture and lost identities.
DOSSIER DE PRESSE FRIDA-54 X: HERVÉ YAMGUEN →
Hervé Yamhguen est un artiste plasticien talentueux doté d'un talent hors pair. Il exerce dans le milieu de l'art depuis prés de 30 ans. Hervé Yamguen est un artiste camerounais avec un atelier rempli d'objets d'art, de tableaux situé à New Bell, Douala. C'est un personnage qui est à la fois contemporain dans l'approche de son art et traditionnel avec sa stature de Noble dans son village à Balassie Bandja (Ouest Cameroun). Artiste engagé, sa plume est à la fois son arme et son âme. C'est elle qui nous a fait succomber et inviter à une collaboration.
Douala est-elle la capitale de l’artcontemporain au Cameroun? →
En raison de sa position géostratégique, la villeportuaire de Douala a été, entre la fin du XIVesiècle et le début du XVe siècle, la principale ported’entrée et de sortie du Cameroun. Bénéficiant decette situation, la ville a suscité l’attrait despopulations de l’intérieur, ce qui lui vautaujourd’hui une grande diversité culturelle. Lespremiers contacts avec les Occidentaux ont aussifavorisé l’introduction de la peinture sur chevaletcomme moyen d’expression artistique. Nous allonsparcourir l’évolution de l’art, des différentesdynamiques associatives et institutionnelles quiont participé à la construction d’une scèneartistique riche et féconde. Des premiers peintresautodidactes aux jeunes gens ambitieux qui sortentdes beaux-arts, en passant par les regroupementsd’artistes et les différentes structures privées quiont construit cette scène artistique plurielle
Les galeries de province montent à la capitale →
Contrairement à d’autres foires, celle-ci est accueillante, et à la portée de tous ! » La réflexion est de Valérie Cueto, qui fut galeriste à Paris avant de s’établir à New York. Elle est revenue au Grand Palais, où elle exposa jadis – à la FIAC notamment –, avec un collectionneur qu’elle conseille désormais. En face d’elle, le directeur du musée de Kansas City opine du chef : « Il y a ici une décontraction, une simplicité et une gentillesse, qu’on ne voit plus guère dans ce genre de manifestations aujourd’hui. » Et il les connaît toutes.
Le continent oublié se rappelle au bon souvenir du marché de l’art →
L’art africain est partout en ce printemps parisien. Longtemps négligé par le marché de l’art en France, le voilà aujourd’hui l’objet d’un sacré rattrapage. La Fondation Louis-Vuitton s’y est récemment intéressée, et dévoilera ses acquisitions à la fin avril. Dès cette semaine, c’est la Foire Art Paris Art Fair qui promeut le continent oublié en invité d’honneur. Venues du Nigeria, de Tunisie ou du Cameroun, une quinzaine de galeries se frottent pour la première fois au public parisien, à travers une sélection opérée par la commissaire d’exposition Marie-Ann Yemsi.