Participation de Joël Patrick Tatcheda Yonkeu à la Biennale de Venise

Le dicton latin « Nemo propheta in patria » souligne à quel point il est rare qu’une personne gagne en prestige et en reconnaissance dans son pays natal. Dans ce contexte, le prophète est souvent incompris pour sa nature dissonante, qui se distingue par sa capacité à anticiper les temps et à penser de manière divergente. Cela provoque souvent des malentendus, en particulier dans la communauté d’origine, avec les attentes de conformité aux « normes » du groupe.

Source: https://www.labiennale.org/it/arte/2024/ca...

Participation de Soly Cissé aux week-ends de l'art "Mythologies contemporaines"

Artiste incontournable sur la scène de l’Art contemporain, Soly CISSÉ est né en 1969 à Dakar, au Sénégal. Enfant, Soly CISSÉ est fasciné par les transparences et la lumière : il s’amuse à dessiner sur les radios de son père, radiologue. Après être sorti major de sa promotion des Beaux-Arts de Dakar, en 1996, il est sélectionné pour les biennales de Sao Paulo et de Dakar en 1998, puis à celle de La Havane en 2000.

Source: https://www.artcomoedia.fr/exposition/

Art contemporain africain: ENTRETIEN | Voici la meilleure (et la seule) revue d’art contemporain africain en France

“Aujourd'hui, les lignes bougent. Si on ne s'est pas débarrassé de tous les poncifs autour de la production contemporaine du

continent africain, force est de constater qu'émerge un engouement certain pour cette dernière, les expositions d'art africain

fleurissent et une revue dédiée a (enfin) vu le jour : something we Africans got. Après avoir feuilleté les quelque 200 pages du

premier numéro de ce beau trimestriel bilingue, pointu et richement illustré, j'ai contacté son instigatrice, la pétulante

Franco-Ivoirienne Anna-Alix Koffi.

DOSSIER DE PRESSE FRIDA-54 X: HERVÉ YAMGUEN

Hervé Yamhguen est un artiste plasticien talentueux doté d'un talent hors pair. Il exerce dans le milieu de l'art depuis prés de 30 ans. Hervé Yamguen est un artiste camerounais avec un atelier rempli d'objets d'art, de tableaux situé à New Bell, Douala. C'est un personnage qui est à la fois contemporain dans l'approche de son art et traditionnel avec sa stature de Noble dans son village à Balassie Bandja (Ouest Cameroun). Artiste engagé, sa plume est à la fois son arme et son âme. C'est elle qui nous a fait succomber et inviter à une collaboration.

Douala est-elle la capitale de l’artcontemporain au Cameroun?

En raison de sa position géostratégique, la villeportuaire de Douala a été, entre la fin du XIVesiècle et le début du XVe siècle, la principale ported’entrée et de sortie du Cameroun. Bénéficiant decette situation, la ville a suscité l’attrait despopulations de l’intérieur, ce qui lui vautaujourd’hui une grande diversité culturelle. Lespremiers contacts avec les Occidentaux ont aussifavorisé l’introduction de la peinture sur chevaletcomme moyen d’expression artistique. Nous allonsparcourir l’évolution de l’art, des différentesdynamiques associatives et institutionnelles quiont participé à la construction d’une scèneartistique riche et féconde. Des premiers peintresautodidactes aux jeunes gens ambitieux qui sortentdes beaux-arts, en passant par les regroupementsd’artistes et les différentes structures privées quiont construit cette scène artistique plurielle

Les galeries de province montent à la capitale

Contrairement à d’autres foires, celle-ci est accueillante, et à la portée de tous ! » La réflexion est de Valérie Cueto, qui fut galeriste à Paris avant de s’établir à New York. Elle est revenue au Grand Palais, où elle exposa jadis – à la FIAC notamment –, avec un collectionneur qu’elle conseille désormais. En face d’elle, le directeur du musée de Kansas City opine du chef : « Il y a ici une décontraction, une simplicité et une gentillesse, qu’on ne voit plus guère dans ce genre de manifestations aujourd’hui. » Et il les connaît toutes.

Le continent oublié se rappelle au bon souvenir du marché de l’art

L’art africain est partout en ce printemps parisien. Longtemps négligé par le marché de l’art en France, le voilà aujourd’hui l’objet d’un sacré rattrapage. La Fondation Louis-Vuitton s’y est récemment intéressée, et dévoilera ses acquisitions à la fin avril. Dès cette semaine, c’est la Foire Art Paris Art Fair qui promeut le continent oublié en invité d’honneur. Venues du Nigeria, de Tunisie ou du Cameroun, une quinzaine de galeries se frottent pour la première fois au public parisien, à travers une sélection opérée par la commissaire d’exposition Marie-Ann Yemsi.